28 novembre 2024
5 minutes
Havre de paix au cœur du quartier fourmillant de la Part-Dieu, l’hôtel Pullman Lyon est un repère high-tech pour les visiteurs et les voyageurs d’affaires. On vous raconte.
28 novembre 2024
5 minutes
Le TGV s'arrête en gare. Les portes coulissent, prêtes à nous dévoiler l'adresse dont tout le monde parle. À quelques pas de la gare de Lyon-Part-Dieu, l’hôtel Pullman Lyon élance ses huit étages couleur onyx. Il colle parfaitement à l'ambiance d'un quartier en pleine évolution, promesse d'aventures urbaines et modernes. Pourtant, sa véritable identité se dissimule derrière ses murs.
On franchit le seuil d'entrée. Tout de suite, on reconnaît le style de l'architecte Fabien Roque. Nos sens sont titillés par les couleurs, les lumières et les senteurs. La chaleur de l'accueil contraste avec la superbe froideur de l'esprit industriel. Un seul mot d’ordre résonne : le calme, servi par une conception et un design pensés jusque dans les moindres détails. Premier et unique Pullman de la région Auvergne-Rhône-Alpes, l’hôtel se présente comme le porte-étendard d’une hôtellerie moderne, garante des exigences contemporaines et de l’hospitalité lyonnaise. Vraiment ? C'est l'heure de vérité.
Dès qu'on rentre dans le lobby, le bruit extérieur s'interrompt. Des fragrances de mandarine, de sauge, de lavande, d’ambre ou de vétiver flottent dans l'air. Deux éléments nous frappent. D'abord, la lumière naturelle. Elle est présente partout, libérée par de grandes baies vitrées. Ensuite, la hauteur sous plafond. 10 mètres de haut, c'est remarquable en ville.
Direction le desk d'accueil. On nous propose un thé aromatisé ou un jus détox à siroter dans un large fauteuil au coton bouclé. L'occasion rêvée de prendre nos marques. On repère directement le bar et le restaurant, au rez-de-chaussée. Leurs vastes espaces végétalisés sont une constante dans tout l'hôtel. Au cours de la visite, la décoration florale nous guide d'une pièce à l'autre. Partout, la luminosité joue un rôle essentiel. Qu'elle soit naturelle ou artificielle, elle joue avec les contrastes et propose un parcours ludique, des chambres aux espaces communs. On s'y sent bien, rapidement relaxé. L'effervescence de la gare est déjà loin.
Tout respire la tranquillité, l'élégance trendy sans le côté snob qui pourrait l'accompagner. Des éclats de rire attirent notre attention. Des groupes de collègues ou d'amis partagent des cocktails autour d'une grande table et d'une planche à partager. Le séjour s'annonce convivial, à l'image de la ville de Lyon.
À Lyon, l’hôtel 4 étoiles Pullman est monté sur ressorts. Une science de l’ingénierie qui lui permet d’absorber intégralement le bruit généré par le trafic ferroviaire et de garantir aux hôtes un séjour serein.
Les 168 chambres et suites misent sur le confort et l’atmosphère cocooning. Là encore, on est surpris par le volume : 30 m² pour les plus petites d'entre elles, rivalisant facilement avec les normes des hôtels 5 étoiles.
On sort le téléphone, incapables de s'empêcher de prendre la plus belle photo pour nos stories Instagram. La pluralité des objets décoratifs et des matériaux challengent les élans créatifs entre le béton, le bois, le velours, le marbre, les rideaux graphiques et les textiles colorés. Notre objectif s'attarde sur les multiples vases disposés sur les étagères. On ressortira avec bien plus de photos que prévu.
La luminosité aide. Comme les artistes Guillaume Flandre ou Jonathan Bertin, on joue avec les compositions. Les LED ajustables créent l'ambiance qui convient. On capte les points de lumière doux dans la salle de bains, on capture les ombres créées par le plafonnier arrondi qui réchauffe toute la chambre, on ajuste l'intensité, le clic facile.
Devant la télévision de 55 pouces, notre âme geek se réveille. En deux temps trois mouvements, le Chromecast diffuse l'électro lyonnaise de Jean-Michel Jarre. Le téléphone sonne. Il va falloir abandonner notre playlist. Il est l'heure de passer à table.
Notre chambre préférée ? La 327, au troisième étage. Sa terrasse arborée, en plein coeur de Lyon, est un véritable plus pour travailler ou se détendre au soleil.
Dépaysante, la carte internationale du restaurant Pampa tranche avec l’identité culinaire de Lyon. Les bouchons attendront. Derrière les fourneaux, une équipe partiellement sud-américaine invoque les codes de sa cuisine natale pour les marier à l’héritage gastronomique français. Des couleurs vertes, ocre et beiges au design des uniformes inspirés par cette région du monde, le trait d’union entre les cultures est puissant, inspirant.
Le moment est venu de réviser notre espagnol. On s'attable autour de l’immense table d’hôtes disposée face à la cuisine ouverte. On ouvre la « carta ensoleillée ». Un rapide coup d'œil au glossaire nous aide à faire notre choix. On teste un peu de tout, en version veggie et carnée. En entrée, le ceviche del tigre et les empanadas. En plat, on se laisse tenter par le chili sin carne et les gambas à la mangue et chipotle. En dessert, deux choco pampa relevés au piment viennent clôturer le repas. Un régal, hâte de voir le petit déjeuner.
Pour étirer les heures du dimanche matin, le brunch au Pampa est le rendez-vous gourmand à Lyon. En plus des classiques de la cuisine française, le buffet se pare de saveurs sud-américaines qui prolongent le voyage gustatif. Et tout le monde en profite ! Les enfants, qui préfèrent généralement écourter leur temps à table, s’amusent grâce aux activités encadrées par des animateurs professionnels.
Dès la chambre, le pad digitalisé pose les bases. Une pression et la lumière vire au bleu. La chambre peut être entretenue. Une autre, et le rouge indique que l’espace est occupé. Encore mieux, tout le personnel de ménage a accès à des tablettes pour suivre en temps réel l'occupation des chambres. Notre tranquillité est bien gardée.
Même ambiance futuriste dans la salle de sport. On adore souffrir sur un trail virtuel, simulé par les machines Mills de dernière génération. La recette ? Un coach virtuel, un décor immersif de montagnes et une inclinaison réglée au maximum. Les Alpes étaient sous nos pieds.
Cette passion technologique, propre aux hôtels Pullman, optimise toutes les étapes du séjour. Scan instantané du passeport au check-in, domotique réglable, livret d'accueil digitalisé par Skeat et room service accessible via un QR code... le nouveau monde de l’hôtellerie s’est installé à la Part-Dieu.
Le service qui fait rêver ? Tous les voyageurs Gold et Limitless bénéficient d’un diagnostic et d’un soin de beauté Dior dans le centre commercial haut-de-gamme Westfield, à quelques mètres de l’hôtel. En chambre, un coffret d’accueil Dior avec crème et parfum couronnent l'expérience.
Le second étage de l’hôtel est intégralement dédié aux réunions et séminaires à Lyon. L'ambiance y est un peu plus industrielle, impression donnée par les hauts plafonds bétonnés qui contrastent avec l’ambiance chaleureuse des salons baignés de lumière. Les 14 salles sont dotées de tout ce qui peut faire rêver les organisateurs de team-building, conférenciers et organisateurs d'événements privés.
On profite de l'après-midi pour tester la connectivité des suites, aux écrans de télévision dotés de barres de visioconférence. Un rapide Zoom avec les collègues, avant de s'installer sur le bureau pour aérer nos notes et structurer nos idées. On a adoré l'intimité et le confort permis par l'espace. On aimerait télétravailler dans ces conditions tous les jours.
Véritable locomotive de la Part-Dieu, l’hôtel s’inscrit au sein d'un projet global de transformation sociale et sociétale grâce au développement d'un pôle d'échanges multimodaux et de la mutation végétale du quartier de la Part-Dieu.
Déjà bien ancré dans le développement du quartier de la Part-Dieu, l'hôtel 4 étoiles est profondément local. Sans bouger du Pullman Lyon, on a pu découvrir les adresses préférées des Lyonnais. Parmi nos coups de cœur, mention spéciale pour les viennoiseries de la boulangerie de Saint-Just, les poissons des Homards Acadiens et la viande de Beauvallet.
La signature régionale se poursuit jusqu’à la végétalisation grâce aux talents du fleuriste Amarylice et de l’agence paysagiste des jardins de Gally, déjà croisée au Novotel de la Porte de Versailles, à Paris ou au Puy du Fou.
Dès sa conception, l’hôtel a été pensé pour être durable. Engagé dans une démarche de transition écologique et responsable, le Pullman Lyon adopte une approche plus sobre en supprimant les plastiques à usage unique, l’utilisation de l’eau et en sensibilisant les voyageurs aux écogestes. La bonne surprise ? La gourde disposée dans toutes les chambres, qu'on a pu recharger à volonté grâce aux fontaines BRITA à eaux filtrées plates ou gazeuses.
On s'est renseigné : tous les membres du staff ont été formés à la gestion des déchets et à l’économie des ressources. Déjà certifié BREEAM, bientôt labellisé Clef Verte, l’hôtel Pullman Lyon montre la voie dans le quartier de la gare de Lyon Part-Dieu.
Place à la fête : on retournera au Pullman Lyon lors d’un gros événement culturel. A l'occasion des dates lyonnaises de Taylor Swift, Rammstein ou Coldplay, les fans ont bénéficié d’attentions personnalisées comme des bracelets ou des casquettes customisées, un coin photo ou un atelier tatouage pour petits et grands.
L’hôtellerie de demain ne pouvait s’imaginer sans le même niveau de confort et de services pensés pour tous les voyageurs. On a osé demander à un voyageur en fauteuil roulant. Dans sa smart room, tous les déplacements sont facilités avec des espaces adaptés et des boutons à hauteur de fauteuil pour joindre la réception. Il a pu compter sur un accueil professionnel des membres du personnel Pullman, formé à l’accueil des voyageurs en situation de handicap. Il paraît qu'il est même possible de profiter des services d'un chien-guide, en cas de besoin.
Adresse : 44 Boulevard Vivier Merle, 69003 Lyon
Accès en transports en commun : métro B, trams T1 et T3, arrêts Gare Part-Dieu V.Merle
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